L'écopsychologie
Origine
Le concept d'écopsychologie - éco ("oikos" en grec, veut dire la maison), psycho ("psi" la psyché) et logie ("logos" le discours, la raison) a été créé en 1992 par Théodore Roszak. Il est issu de l'évolution du concept de contre-culture né dans les années 1950 et d'un questionnement sur les limites de la croissance et l'hypothèse d'un lien existant entre la santé mentale de l'humain et la santé de la nature qui l'entoure.
Un champs de recherche transdisciplinaire
Le concept d'écopsychologie regroupe nombre d'inspirations de divers horizons tel que : les sagesses des premières nations, les philosophies orientales, le processus d'individuation (C.G. Jung), la pensée complexe (Edgar Morin), le biocentrisme (Paul Watson), Deep ecology (Aerne Naess), les approches systémiques (Gregory Bateson) ou encore le Travail qui relie (Joana Macy) pour n'en citer que quelques uns.
Un changement de regard
Intégrer un regard écopsychologique c'est passer d'une vision anthropocentrique du monde (l'humain au centre, la nature à sa disposition) à une vision biocentrique (l'humain fait partie intégrante du vivant et toute espèce fonctionne en interdépendance).
C'est un changement profond dans notre manière de percevoir la vie en passant d'une pensée linéaire (organisation en cause à effet) à une pensée complexe (organisation systémique).
Le regard écopsychologique dans l'accompagnement
La nature devient co-intervenante en lieu et place d'une ressource dont on dispose à volonté. En favorisant la création d'un sentiment d'appartenance au vivant, on alimente un cercle vertueux qui agit non seulement sur notre santé physique, émotionnelle et cognitive mais crée une profonde relation avec le vivant, génère un instinct de protection et un "pouvoir d'agir pour" une meilleure santé de notre environnement.
"Nous ne pouvons pas gagner cette bataille pour sauver les espèces et l'environnement sans forger un lien émotionnel entre nous et la nature, car nous ne nous battons pas pour sauver ce que nous n'aimons pas."
Stephen Jay Gould

Le coaching
Une direction et des objectifs clairs
Pour se motiver à avancer, il est bon de savoir précisément ce que l'on veut atteindre. Identifier un objectif assez clair pour pouvoir s'y projeter est donc le pilier central du coaching. Il convient de l'explorer en détail pour évaluer ce qui a déjà été tenté et pourquoi il n'a pas abouti jusqu'ici, lister les options disponibles, les idées et les besoins de soutiens à mettre en place pour ne pas faire plus de la même chose.
Des étapes et des stratégies pour aller jusqu'au bout
Découper un objectif en plusieurs étapes franchissables permet de se voir progresser de manière tangible et garder le plaisir d'avancer même quand c'est difficile. La mise en action offre un cadre concret pour observer les résistances réelles et les transformer.
Dans le respect votre nature profonde
Les changements désirés qui sont en accord avec votre personnalité et vos valeurs peuvent s’installer dans le temps. C’est la raison pour laquelle, je vous guide pour que vous puissiez identifier vos solutions et engage votre responsabilité et votre autonomie dans la concrétisation de votre projet.

La programmation neuro linguistique
Origine
Méthode développée par Richard Bandler et John Grinder dans les années 70. L'idée à la base de leurs recherches était de comprendre et décortiquer des comportements exceptionnellement efficaces observés chez certains professionnels de l'accompagnement, afin d'en faire un modèle qui pouvait être enseigné ensuite à d'autres accompagnants.
Une carte du monde unique pour chacun
La PNL permet d'étudier les schémas linguistiques et les encodages sensoriels afin de percevoir comment est dessinée la carte du monde d'une personne. Elle apporte une compréhension sur la manière dont on encode nos souvenirs par le biais de ses 5 sens (la bonne odeur de tarte aux pommes de grand-maman qui me ramène fissa à mes vacances d'enfant) par exemple. Elle renseigne sur comment est filtrée une expérience ou une information extérieure, comment elle est mémorisée ou perçue.
Des outils de changement
J'utilise notamment la PNL sous forme d'outil thérapeutique afin de transformer les éléments ou les croyances limitantes et empêchent la mise en place des objectifs. Elle est également utile pour installer des ressources, gérer ses émotions ou transposer d'un contexte à un autre un comportement ou une stratégie qui fonctionne (je suis capable de dire non à mes amis mais pas à ma famille).





